ObjektnummerHHI.MUS.2019.7002

Enterrement de la liberté ("Beerdigung der Freiheit“)

ObjektbezeichnungKarikatur

Künstler*in Grandville (1803 - 1847)

Datierung1831

Material/TechnikKolorierte Lithographie

Maße(H x B): 24,4 × 36,2 cm

BeschreibungKarikatur zu den politischen Entwicklungen nach der Julirevolution 1830 in Frankreich. Veröffentlicht in: La Caricature, 21.4.1831. Drucker: Victor Hippolyte Delaporte; Verlagshaus Aubert, Paris.

KlassifikationGrafik - Druckgrafik

Erscheinungsort

Institution Heine-Institut und Schumann-Haus

Abteilung HH Museum

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Le souffleur.

Honoré Daumier

07.02.1870

001 Historische Daten und Ereignisblätter

1832-1850

Farce dramatique. Doucement ! Doucement !... ne levez pas le rideau, je ne joue pas... - (Le Directeur accourant effrayé). Vous plaisantez, mon cher Macaire, vous plaisantez, n'est-ce pas? - Pas du tout, pas du tout ! ..je ne jouerai pas... - Vous ne jouerez pas un semblable tour au théâtre, à l'auteur, à vos pauvres camarades... - Brrrrt ! vous ne tenez pas vos engagemens je rompts le mien, donnez-moi le dédit... - Je ne tiens pas mes engagemens!! - Non, vous devez me payer comptant et vous me devez...... - Quoi? - Vous me devez 75 centimes.

Honoré Daumier

1840-1841

Honoré Daumier

1840-1841

Druckstoff

2. Hälfte 19. Jahrhundert

- Je l'aurais parié..... au lieu de lui faire voir Séraphin, tu l'emmènes au drame......c'est déja mauvais pour les grandes personnes : pauvre chou !....
- Ne vous effrayez pas, Madame, c'est ainsi que s'amusent les enfants !

Honoré Daumier

1839-1842

028 Zur Einführung: Karikaturen und politische Satire

1830-1849

Bild nicht vorhanden

MISÉRABLES, LES

1958

Scene aus der Julyrevolution

Unbekannt

ca./ c. 1840

- Ah! madame, .... vous venez de nous jouer Marivaux comme jamais on ne l'avait joué, et mademoiselle Mars a bien fait de mourir...... car si elle vous avait vu ce soir, elle serait morte de jalousie!......
(La dame trouve que ce monsieur est un peu froid dans ses éloges)

Honoré Daumier

28.04.1858

Ta main vient d'immoler Britannicus ton frère,
Je prévois que tes coups iront jusqu'à ta mère.
(Britannicus.)

Honoré Daumier

ca. 1841

Le jour n'est pas plus pur que le fond de mon cœur.
(Phèdre)

Honoré Daumier

ca. 1841