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ObjektnummerFM.FB.41033

VOULEZ-VOUS DANSER AVEC MOI?

Angaben zum Film

OriginaltitleVOULEZ-VOUS DANSER AVEC MOI?

TitelWollen Sie mit mir tanzen?

Datierung1959

Produktionsland

France

Produktionsland

Italien

Filmgenre<Spielfilm>

BeschreibungFotos sw

KlassifikationKonvolut

Institution Filmmuseum der Landeshauptstadt Düsseldorf

Abteilung FM Filmbezogenes Material (Findbuch)

Beziehungen
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VOULEZ-VOUS DANSER AVEC MOI?

1959

Oui, Monsieur, votre air respectable m'enhardit: vous voyez en moi un premier tenor qui a perdu son Ut, mais qui a encore sa femme. Avec dix huit enfans, et plus rien!.... pllll...s rrrr....ein!.. confiez moi une quinzaine de livres! - Je n'ai sur moi qu'une pièce de quarante francs! - Je vais vous rendre!

Oui, Monsieur, votre air respectable m'enhardit: vous voyez en moi un premier tenor qui a perdu son Ut, mais qui a encore sa femme. Avec dix huit enfans, et plus rien!.... pllll...s rrrr....ein!.. confiez moi une quinzaine de livres! - Je n'ai sur moi qu'une pièce de quarante francs! - Je vais vous rendre!

Honoré Daumier

1839-1843

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QUELQUES JOURS AVEC MOI

1988

(Chabolard Arnal) Monsieur, voulez-vous bien finir, fermez cette fenêtre ! voulez-vous que j'emploie la violence ? Passé Minuit (Theatre du Vaudeville.)

(Chabolard Arnal) Monsieur, voulez-vous bien finir, fermez cette fenêtre ! voulez-vous que j'emploie la violence ? Passé Minuit (Theatre du Vaudeville.)

Honoré Daumier

ca. 1839

Un engagement d'artiste.
- Vous voulez un engagement à mon théâtre.... c'est très bien mademoiselle... comme vous êtes jolie, pour vous ça ne sera que douze cents francs.... que vous me paierez chaque année bien entendu!....
- J'accepte.... mais c'est à condition que je n'aurai pas d'augmentation!.....

Un engagement d'artiste.
- Vous voulez un engagement à mon théâtre.... c'est très bien mademoiselle... comme vous êtes jolie, pour vous ça ne sera que douze cents francs.... que vous me paierez chaque année bien entendu!....
- J'accepte.... mais c'est à condition que je n'aurai pas d'augmentation!.....

Honoré Daumier

ca. 1845

- Pour la septième fois voulez vous me rendre ma place?... sinon....
- Sinon quoi?...
- Sinon je serai obligé de m'en aller, ce qui me contrarierait beaucoup!

- Pour la septième fois voulez vous me rendre ma place?... sinon....
- Sinon quoi?...
- Sinon je serai obligé de m'en aller, ce qui me contrarierait beaucoup!

Honoré Daumier

23.03.1864

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PARLEZ - MOI DE VOUS

Carotte dramatique. - (Couplet au public).
Air de la sentinelle.
A vous, messieurs, je m'adresse ce soir,
Vous avez tant d'esprit, tant de finesse;
A vous, messieurs, notre orgueil, notre espoir,
Je viens ici confesser ma faiblesse;
Ah donnez-moi, juge trop indulgent,

Un bouclier contre bien des attaques;
Donnez-moi, public obligeant,
Vos soins, vos conseils... votre argent;
Et surtout donnez-moi des claques.

Carotte dramatique. - (Couplet au public).
Air de la sentinelle.
A vous, messieurs, je m'adresse ce soir,
Vous avez tant d'esprit, tant de finesse;
A vous, messieurs, notre orgueil, notre espoir,
Je viens ici confesser ma faiblesse;
Ah donnez-moi, juge trop indulgent,

Un bouclier contre bien des attaques;
Donnez-moi, public obligeant,
Vos soins, vos conseils... votre argent;
Et surtout donnez-moi des claques.

Honoré Daumier

30.04.1844

Farce dramatique. Doucement ! Doucement !... ne levez pas le rideau, je ne joue pas... - (Le Directeur accourant effrayé). Vous plaisantez, mon cher Macaire, vous plaisantez, n'est-ce pas? - Pas du tout, pas du tout ! ..je ne jouerai pas... - Vous ne jouerez pas un semblable tour au théâtre, à l'auteur, à vos pauvres camarades... - Brrrrt ! vous ne tenez pas vos engagemens je rompts le mien, donnez-moi le dédit... - Je ne tiens pas mes engagemens!! - Non, vous devez me payer comptant et vous me devez...... - Quoi? - Vous me devez 75 centimes.

Farce dramatique. Doucement ! Doucement !... ne levez pas le rideau, je ne joue pas... - (Le Directeur accourant effrayé). Vous plaisantez, mon cher Macaire, vous plaisantez, n'est-ce pas? - Pas du tout, pas du tout ! ..je ne jouerai pas... - Vous ne jouerez pas un semblable tour au théâtre, à l'auteur, à vos pauvres camarades... - Brrrrt ! vous ne tenez pas vos engagemens je rompts le mien, donnez-moi le dédit... - Je ne tiens pas mes engagemens!! - Non, vous devez me payer comptant et vous me devez...... - Quoi? - Vous me devez 75 centimes.

Honoré Daumier

1840-1841

Farce dramatique. Doucement ! Doucement !... ne levez pas le rideau, je ne joue pas... - (Le Directeur accourant effrayé). Vous plaisantez, mon cher Macaire, vous plaisantez, n'est-ce pas? - Pas du tout, pas du tout ! ..je ne jouerai pas... - Vous ne jouerez pas un semblable tour au théâtre, à l'auteur, à vos pauvres camarades... - Brrrrt ! vous ne tenez pas vos engagemens je rompts le mien, donnez-moi le dédit... - Je ne tiens pas mes engagemens!! - Non, vous devez me payer comptant et vous me devez...... - Quoi? - Vous me devez 75 centimes.

Farce dramatique. Doucement ! Doucement !... ne levez pas le rideau, je ne joue pas... - (Le Directeur accourant effrayé). Vous plaisantez, mon cher Macaire, vous plaisantez, n'est-ce pas? - Pas du tout, pas du tout ! ..je ne jouerai pas... - Vous ne jouerez pas un semblable tour au théâtre, à l'auteur, à vos pauvres camarades... - Brrrrt ! vous ne tenez pas vos engagemens je rompts le mien, donnez-moi le dédit... - Je ne tiens pas mes engagemens!! - Non, vous devez me payer comptant et vous me devez...... - Quoi? - Vous me devez 75 centimes.

Honoré Daumier

1840-1841

Le terrible régisseur.
- Comment vous me dites que vous avez manqué la répétition aujourd'hui parce que vous avez posé des sangsues à votre mère?...
- Oui, monsieur!
- Mais il y a trois mois, en entrant ici, vous m'avez dit que vous étiez orpheline... c'est la première fois, dans ma longue carrière dramatique, que je vois poser des sangsues a une personne morte.

Le terrible régisseur.
- Comment vous me dites que vous avez manqué la répétition aujourd'hui parce que vous avez posé des sangsues à votre mère?...
- Oui, monsieur!
- Mais il y a trois mois, en entrant ici, vous m'avez dit que vous étiez orpheline... c'est la première fois, dans ma longue carrière dramatique, que je vois poser des sangsues a une personne morte.

Honoré Daumier

02.04.1864

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RENDEZ-VOUS D' ANNA, LES