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ObjektnummerFM.Film.40984

VINCENT ET MOI

Titel DeutschVincent und ich

Titel EnglischVincent and Me

Datierung1990

KlassifikationTon/bewegtes Bild - Werk

Produktionsland

Canada

Produktionsland

France

Institution Filmmuseum der Landeshauptstadt Düsseldorf

Abteilung FM Filme

Beziehungen
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VINCENT, FRANÇOIS, PAUL ET LES AUTRES

1974

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VINCENT, FRANÇOIS, PAUL ET LES AUTRES

Aufnahmedatum: 24.04.2014

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1999

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VIERGE, LES COPTES ET MOI, LA

2011

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Jirí Weiss

1991

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PAPA, MAMAN, LA BONNE ET MOI...

1954

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CÉZANNE ET MOI

2016

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MOI, PIERRE RIVIÈRE, AYANT ÉGORGÉ MA MÈRE, MA SOEUR ET MON FRÈRE...

1976

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CÉZANNE ET MOI

Oui, Monsieur, votre air respectable m'enhardit: vous voyez en moi un premier tenor qui a perdu son Ut, mais qui a encore sa femme. Avec dix huit enfans, et plus rien!.... pllll...s rrrr....ein!.. confiez moi une quinzaine de livres! - Je n'ai sur moi qu'une pièce de quarante francs! - Je vais vous rendre!

Oui, Monsieur, votre air respectable m'enhardit: vous voyez en moi un premier tenor qui a perdu son Ut, mais qui a encore sa femme. Avec dix huit enfans, et plus rien!.... pllll...s rrrr....ein!.. confiez moi une quinzaine de livres! - Je n'ai sur moi qu'une pièce de quarante francs! - Je vais vous rendre!

Honoré Daumier

1839-1843

Carotte dramatique. - (Couplet au public).
Air de la sentinelle.
A vous, messieurs, je m'adresse ce soir,
Vous avez tant d'esprit, tant de finesse;
A vous, messieurs, notre orgueil, notre espoir,
Je viens ici confesser ma faiblesse;
Ah donnez-moi, juge trop indulgent,

Un bouclier contre bien des attaques;
Donnez-moi, public obligeant,
Vos soins, vos conseils... votre argent;
Et surtout donnez-moi des claques.

Carotte dramatique. - (Couplet au public).
Air de la sentinelle.
A vous, messieurs, je m'adresse ce soir,
Vous avez tant d'esprit, tant de finesse;
A vous, messieurs, notre orgueil, notre espoir,
Je viens ici confesser ma faiblesse;
Ah donnez-moi, juge trop indulgent,

Un bouclier contre bien des attaques;
Donnez-moi, public obligeant,
Vos soins, vos conseils... votre argent;
Et surtout donnez-moi des claques.

Honoré Daumier

30.04.1844